FORT DE FRANCE
Justice Française :
Originalités du Droit
ou escroquerie ?
L’Avocat du
Crédit Mutuel demande à une Cour d’Appel de faire Droit à l’Autorité de la CHOSE jugée de la décision favorable à la banque
du 24 Juillet 1997 qui confirme
qu’une de ses pièces (lettre 16 Mars 1994) produite aux
débats « ne concerne pas
un prêt litigieux mais un autre prêt ».
Le Conseil
demande à la même Cour de confirmer un jugement du juge de l’exécution
du 01 décembre 2009 qui motive en affirmant que cette pièce « concerne le prêt litigieux ».
PROBLÈME ?
Parallèlement
le banquier produit à la Cour un courrier en date du 04 Septembre
1997 de Monsieur
Louis CRUSOL du Crédit Mutuel confirmant que la lettre du 6 Mars 1994 est « SANS
VALEUR » JURIDIQUE.
PROBLÈME ?
Ladite Cour
le 07 Juin 2013 confirme le jugement par Arrêt.
Ledit jugement
motive en visant un procès verbal du juge Bruno LAVIELLE à l’encontre duquel une plainte pour faux en
écriture publique a été déposée le 14 Juin 2013.
La convention
(offre de prêt) signée par le banquier lui interdisait toute action en
justice depuis Juillet 1992.
Qu’en pense
le Bâtonnier quant à l’image véhiculée de la profession d’AVOCAT ?
Il ne suffit pas que la justice soit
rendue, il faut encore que l’on ait le sentiment qu’elle l’a été.
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